mardi 31 décembre 2013

INQUIETUDES ALGERIENNES JUSTIFIEES

Le triste constat :
L’islamisme attire toujours quand il rencontre un terrain propice.

**L’Algérie est devenue bien malgré elle un fournisseur international de djihadistes avec l’assise wahhabite pour contrer le chiisme et le sofisme.

50% de la jeunesse algérienne est au chômage, livrée à elle-même, sans aucun objectif d’avenir.

Une partie d’entre-elle est prise en main et endoctrinée par les religieux fondamentalistes, elle étudie les sciences islamiques et devient djihadiste tout naturellement.

Les réseaux sont interconnectés à travers le monde et c’est une révolution continue.

On commence par les écoles coraniques et on finit à Al Qaïda.

Ces jeunes partent à Dammaj au Yemen, afin de devenir des machines de guerre et de mort.

Ils se font tuer quotidiennement sur tous les champs de bataille actuels.

Les inquiétudes :
En Algérie l’islamisme a été, pour le moment, vaincu militairement et politiquement mais pas idéologiquement.

**Que deviendront tous ces djihadistes quand les conflits s’arrêteront, car ils s’arrêteront bien un jour, notamment en Syrie ?

Ils reviendront en Algérie et alimenteront le terrorisme. Ils sont donc une menace pour leur propre pays.

Le danger est toujours présent et n’attend que l’occasion pour ressurgir plus fort, plus dangereux, plus destructeur.

**Le monde a cru, nous avons cru, qu’en renversant ce que l’on appelait des dictatures, les peuples arabes se dirigeaient vers plus de liberté, plus de démocratie et moins de religion.

Cela a été une amère déception en Tunisie d’abord puis en Lybie, en Egypte, en Syrie. Les exemples de l’Irak, de l’Afghanistan, du Yemen, etc. sont là pour nous ôter toute espérance.

Il faudra pourtant qu’un jour un de ces pays parvienne à instaurer une véritable république citoyenne et laïque et pourquoi ce pays ne serait-il pas l’Algérie ?

Des principes en héritage :
Je sais que je ne vais pas me faire que des amis mais il s’agit là d’une vérité première, quoi qu’en pense une majorité d’Algériens.

L’Algérie a « bénéficié », je dis bien bénéficié, de 130 années de colonisation.

**Des républicains sont venus la peupler au XIXème siècle, la mettre en valeur, construire avec les Arabes un pays dont ils pouvaient être fiers.

Les musulmans, les juifs et les chrétiens ont toujours pu pratiquer leur religion en toute liberté.

La charia ne s’est jamais exercée.

Tout n’a pas été parfait mais que cela plaise ou non aux algériens, nous leur avons légué des principes qu’une majorité d’entre eux a conservé après notre départ.

**Ferhat Abbas disait :
« C’est bien la pensée française qui est à la base de notre vie morale. A l’empirisme du patrimoine laissé par nos parents et la tradition, l’âme des écrivains français est venue apporter une explication, si j’ose dire, scientifique et rationnelle »

Il faut que ces principes servent à changer totalement l’avenir de l’Algérie.

**Il est fini le temps de se lamenter sur une repentance que nous n’avons aucune raison de leur offrir car nous pourrions nous aussi la réclamer cette repentance.

**Un homme a reconnu le rôle positif de la colonisation, HOCINE AIT AHMED, l’un des chefs historiques du F.L.N.

Il déclarait, dans le numéro de juin 2005 de la revue « Ensemble » :

« Chasser les Pieds-Noirs, a été plus qu’un crime, une faute car notre chère patrie a perdu son identité sociale ».

Il ajoutait :

« N’oublions pas que les religions, les cultures juives et chrétiennes se trouvaient en Afrique bien avant les arabo-musulmans, eux aussi colonisateurs, aujourd’hui hégémonistes. Avec les Pieds-Noirs et leur dynamisme – je dis bien les Pieds-Noirs et non les Français- l’Algérie serait aujourd’hui une grande puissance africaine méditerranéenne.

Hélas ! Je reconnais que nous avons commis des erreurs politiques et stratégiques. Il y a eu envers les Pieds-Noirs des fautes inadmissibles, des crimes de guerre envers des civils innocents et dont l’Algérie devra répondre au même titre que la Turquie envers les Arméniens ».

« Du temps de la France l’Algérie c’était le paradis ! »
Peut-être la solution :

**Il n’existe qu’une seule solution pour que cesse ces confrontations meurtrières inter-religieuses : il faut que s’instaure des états modernes sur des valeurs et des principes démocratiques où l’homme est un citoyen et non un croyant.

Il est impératif de séparer la religion de la politique.

Je sais, il est plus facile de le dire que de le faire.

**Nous, français, en sommes un exemple : une révolution a été nécessaire 1789.

Il nous a fallu plus de 150 ans pour y parvenir, je l’espère, définitivement.

*La première loi de séparation de l’église et de l’état date de la constitution de 1795.

*Elle marque un arrêt en 1801 par le concordat entre Bonaparte et l’église.

*Enfin, le 9 décembre 1905 est votée la loi de séparation définitive.

*Mais il faudra attendre la fin de la seconde guerre mondiale, donc les années 1950/1960, pour que la laïcité soit véritablement acceptée par tous.

**Le temps du changement est arrivé. Il faut que l’Algérie choisisse des hommes dignes de réaliser ce rêve. Ils existent, ils sont jeunes, ils n’ont pas vécu la colonisation.

Écartez les anciens ! Constatez vers quoi ils ont conduit leur pays en 50 ans !

L’Algérie peut devenir la première véritable république du monde Arabe !

*La première à séparer totalement la religion de l’état, le citoyen du croyant.

*La première démocratie.

Encore faut-il qu’elle prenne son destin à bras le corps

vu ici

Le cauchemar des multiculturalistes : 50% des musulmans d’Europe réclament l’islamisation et la charia



La majorité des musulmans en Europe pense que la loi islamique de la charia devrait avoir la préséance sur les constitutions et les lois laïques de leurs pays d’accueil. Selon une nouvelle étude, le fondamentalisme islamique progresse très rapidement en Europe occidentale.
Une enquête comparative d’intégration des immigrants turcs et marocains, effectuée dans six pays occidentaux – Autriche, Belgique, France, Allemagne, Pay-Bas et Suède -a été publiée le 11 décembre dernier par le WZB Berlin Social Science Center, l’un des plus grands instituts européen de recherches en sciences sociales.
D’après cette étude, dirigée par le sociologue néerlandais Ruud Koopmans et financée par le gouvernement allemand :
    
        65% des musulmans interrogés affirment clairement que la loi islamique de la charia est plus importante à leurs yeux que les lois du pays dans lequel ils vivent.
        75% des personnes questionnées partagent l’avis selon lequel il n’existe qu’une seule interprétation légitime du Coran, qui devrait s’appliquer à tous les Musulmans.
        Près de 60% des musulmans estiment que leur communauté doit revenir à ses racines islamiques.
        44 % des Marocains et des Turcs interrogés adhèrent à ces déclarations fondamentalistes.
        Ces idées fondamentalistes se propagent non seulement chez les jeunes musulmans, mais également chez les plus âgés.
Les résultats de l’étude montrent que le fondamentalisme islamique est plus marqué en Autriche, où :
    
        73 % des musulmans interrogés déclarent que la charia est plus importante que les lois laïques de l’Etat,
        79% affirment qu’il n’y a qu’une seule interprétation correcte du coran et elle devrait s’appliquer à tous,
        65% pensent que les musulmans doivent revenir à leurs racines islamiques,
        et 55% approuvent les idées énoncées ci-dessus.

L’auteur de l’étude affirme que les comparaisons avec d’autres études allemandes révèlent des tendances très similaires.
• Par exemple, en 2007, une étude sur les « Muslim in Deutschland » avait révélé que 47% des musulmans allemands estimaient que les lois de la charia étaient supérieures aux lois de l’Etat allemand. Dès lors, suivre les règles de sa « religion » l’emportait sur la démocratie.
    Grande hostilité des musulmans envers les minorités
L’enquête montre également la grande hostilité des musulmans envers les minorités, qui sont perçues comme des menaces par le groupe religieux :
60% des Musulmans interrogés rejettent les homosexuels, et 45% déclarent que les Juifs ne sont pas dignes de confiance.
Les musulmans autrichiens semblent être les plus fondamentalistes d’Europe :
    
        60% des musulmans autrichiens rejettent les homosexuels comme amis,
        63% affirment que l’on ne peut pas faire confiance aux Juifs,
        66% sont persuadés que l’Occident essaye de détruire l’islam.
A titre de comparaison, parmi les Européens non musulmans sondés pour l’enquête dans les six pays ci-dessus :
    
        8% expriment leur méfiance envers les Juifs,
        10% déclarent leur aversion envers les homosexuels,
        21% n’aiment pas les musulmans,
        1.4% ne supportent ni les juifs, ni les homosexuels, ni les musulmans.

Pour Koopmans, le fondamentalisme musulman n’est pas une forme innocente d’une religiosité stricte. Alors qu’un Européen sur cinq peut être considéré comme islamophobe, le niveau de phobie contre l’Occident exprimé par les Musulmans, pour lequel il n’existe pas de terme, sinon « l’occidentalophobie » est beaucoup plus élevé : 54% des Musulmans croient que l’Occident veut détruire l’islam.
Ces résultats, dit Koopmans, contredisent clairement l’affirmation souvent entendue que le fondamentalisme religieux islamique est un phénomène marginal en Europe occidentale, comparable à l’intégrisme au sein de la majorité chrétienne. Or cette allégation est erronée, car 50% des Musulmans en Occident veulent revenir aux racines de l’islam, affirment qu’il n’y a qu’une seule interprétation du coran, applicable à tous, et que la loi islamique de la charia est supérieure aux lois laïques.
Parmi les Chrétiens en Occident, moins d’un sur vingt-cinq peut être considéré comme fondamentaliste.
L’intégrisme religieux islamique et ses corrélats : homophobie, antisémitisme et « occidentalophobie » devraient vivement inquiéter les gouvernements occidentaux et les leaders des communautés musulmanes. Evidemment, l’intégrisme religieux ne doit pas nécessairement être assimilé à l’envie de faire usage de la violence pour des motifs religieux, mais, vu son hostilité envers les minorités perçues comme des dangers, l’intégrisme religieux peut facilement nourrir le terreau de la radicalisation.
    Une société libre peut être vaincue et soumise
« Les données ne sont pas suffisantes pour tirer de simples conclusions » écrit Die Welt, toutefois, les démocraties doivent se méfier de ceux qui pensent qu’une société libre peut être vaincue et soumise.

D’autre part, un document de travail publié par la Fondation Gustav Stresemann, basée en Allemagne – un groupe de réflexion dédié à la préservation et à la promotion de la démocratie libérale en Europe – lance un avertissement des plus inquiétants : les organisations islamiques nationales et internationales exercent de plus en plus de pression sur les politiciens occidentaux dans le but de faire criminaliser progressivement toute critique de l’islam.
La quotidien allemand « Die Welt » déclare dans un commentaire que l’étude jette de sérieux doutes sur l’optimisme angélique des « multiculturalistes » européens, pour qui les citoyens musulmans finiront par intérioriser l’état d’esprit et les valeurs des démocraties occidentales.
Le politologue scientifique Félix Strüning, auteur du document publié par la Fondation Gustav Stresemann présente dans son rapport une analyse méticuleusement détaillée des efforts entrepris par le lobbying islamiste pour réduire au silence Thilo Sarrazin – politicien socialiste, économiste et banquier allemand -, via des poursuites judiciaires, pour s’être rendu coupable d’avoir critiqué le refus des immigrants musulmans à s’intégrer dans la société allemande, ce qui, paradoxalement, est précisément ce qu’ils revendiquent.
En octobre 2009, au cours d’une interview avec un magazine culturel, basé à Berlin, Lettre International, T. Sarrazin avait déclaré :
“Un grand nombre d’Arabes et de Turcs de cette ville n’exercent aucune profession productive, à l’exception du commerce de fruits et légumes. Le nombre de naissances parmi les Arabes et les Turcs est deux fois supérieur à celui de la population allemande.
Une grande partie de ces immigrants, soit refusent de s’intégrer, soit sont incapables de le faire. La solution à ce problème serait d’arrêter l’immigration, à l’exception d’individus hautement qualifiés, et de ne plus offrir de protection sociale aux immigrants.
Les immigrants doivent faire l’effort de s’intégrer. Je n’ai pas à accepter des personnes qui ne fournissent aucun effort. Je n’ai pas à accepter des personnes qui vivent de l’assistanat, de la générosité d’un Etat, qu’ils rejettent par ailleurs.
Je n’ai pas à accepter des personnes qui ne s’occupent pas de l’éducation de leurs enfants, voilent de plus en plus leurs petites filles et refusent l’intégration. Cela s’applique à 70% des immigrants turcs et à 90% des immigrants arabes de Berlin. »
Ci-dessous, quelques extraits de   »L’Allemagne disparait*» de Thilo Sarrazin (Editions du Toucan).
Politiquement très incorrect : « Lorsque des immigrés turcs, même de la troisième génération, ne parlent pas encore vraiment allemand, on en rend responsable l’hostilité de l’environnement, qui a empêché l’intégration. Mais pourquoi, on se le demande, ces difficultés n’apparaissent-elles pas dans la quasi-totalité des autres groupes de migrants ? »
Jeunes musulmans agressifs : « De façon indéniable, le problème allemand de l’éducation est le plus souvent un problème de migrants musulmans. (…) Il existe un lien tout à fait réel entre les mauvais résultats scolaires des migrants turcs en Allemagne et les mauvais résultats du système scolaire turc à l’étude Pisa 2006. Cette mauvaise position joue un rôle notable dans le potentiel agressif de nombreux jeunes Turcs et Arabes. »
La liste des problèmes que posent certains immigrés : « La problématique particulière liée aux immigrés islamiques ne se limite pas à l’Angleterre. Dans tous les pays concernés – Angleterre, France, Allemagne, Pays-Bas, Belgique, Danemark ou Norvège –, on fait des constatations comparables à propos du groupe des migrants musulmans, à savoir :
– intégration au marché du travail inférieure à la moyenne,
– dépendance à l’égard des transferts sociaux supérieure à la moyenne,
– participation à l’éducation inférieure à la moyenne,
– taux de natalité supérieur à la moyenne,
– ségrégation topographique, avec tendance à créer des sociétés parallèles,
– religiosité supérieure à la moyenne, avec une tendance croissante à rejoindre les courants traditionnels ou fondamentalistes de l’islam;
– criminalité supérieure à la moyenne, depuis la « simple » criminalité violente dans la rue jusqu’à la participation à des activités terroristes. »
On ne peut plus clair : « Sur le plan économique, nous n’avons pas besoin de l’immigration musulmane en Europe. Dans tous les pays, les immigrés musulmans, compte tenu de leur faible participation à l’activité professionnelle et de leur forte consommation de prestations sociales, coûtent plus cher aux caisses de l’État qu’ils n’apportent de valeur ajoutée. Du point de vue de la culture et de la civilisation, les images de la société et les valeurs qu’ils défendent constituent une régression. »
Un mot sur la France : « La France a connu, en plusieurs vagues, des immigrations polonaise, juive, chinoise et vietnamienne. Toutes ont connu la réussite économique, se sont intégrées sans problème et ont peu à peu fusionné avec la société majoritaire sans avoir recours aux aides de l’État. Mais la France a de tout autres problèmes avec les immigrés musulmans, notamment en provenance d’Algérie. Walter Laqueur émet cette supposition : « Il doit y avoir, dans l’attitude mentale de ceux qui se sentent marginalisés, quelque chose qui leur rend plus difficile l’accès à la réussite existentielle. »
Un peu de populisme : « Une partie des Allemands – y compris de l’élite – n’a pas encore compris le problème. Dans le monde où ils vivent, logent et travaillent, les immigrés musulmans n’apparaissent que pour venir nettoyer les bureaux, ou bien comme décor exotique lors d’une visite occasionnelle à Berlin-Kreuzberg. Une partie des intellectuels et de la presse libérale semble même éprouver une joie secrète à l’idée que l’immigration musulmane sape la société allemande. »
L’Association turque de Berlin – Brandebourg (Türkischer Bund Berlin – Brandebourg, TBB) avait poursuivi T. Sarrazin pour incitation à la haine (Volksverhetzung). Toutefois, les procureurs allemands avaient rétorqué que les déclarations de T. Sarrazin étaient protégées par la liberté d’expression et clôturèrent le dossier.
Furieux, le TBB s’adressa alors au CERD (Comité pour l’élimination de la discrimination raciale). Ce Comité fut chargé de déterminer si les déclarations de T. Sarrazin violaient la convention internationale sur l’élimination de la discrimination raciale.
En février 2013, le Comité affirma que les déclarations de T. Sarrazin transgressaient la convention, car elles exprimaient des idées de supériorité raciale, niaient le respect dû aux êtres humains et stigmatisaient la population turque. Le Comité ajouta que les déclarations de T. Sarrazin incitaient à la discrimination raciale, car celles préconisaient la suspension des prestations sociales aux Turcs, à l’exception des personnes hautement qualifiées, et l’arrêt de l’immigration.
Il est important de souligner que le CERD a également critiqué l’article 130 du Code pénal allemand, (le paragraphe d’incitation à la haine Volksverhetzungsparagraf), car il protège la liberté d’expression garantie par la Constitution allemande, à condition qu’elle ne soit pas utilisée pour nuire à la paix sociale et à la sécurité publique. Et cette dernière partie gène le CERD.
Le CERD prévoit une limite légale beaucoup plus basse, au-delà de laquelle un discours peut être qualifié de discours de haine. La convention des Nations Unies ne stipule pas qu’un discours devient discours de haine s’il est susceptible de nuire à l’ordre public. Le CERD fait dès lors pression sur l’Allemagne pour qu’elle modifie sa législation, afin d’être en conformité avec la convention des Nations Unies, en supprimant de sa loi le seuil légal délimité par « discours susceptible de nuire à l’ordre public ».
Selon F. Strüning, si l’Allemagne devait accéder à cette exigence, il serait dès lors permis d’interdire toute déclaration sur l’islam ou les musulmans, ce qui signifierait une atteinte irréversible à la liberté d’expression. Même si le gouvernement allemand a jusqu’à présent refusé de ré-ouvrir l’enquête sur T. Sarrazin, F. Strüning souligne le danger que fait courir le CERD à la liberté d’expression et aux autres droits fondamentaux en Europe et aux USA, car il autorise les représentants d’états, qui ont clairement une autre compréhension des droits de l’homme, à porter des jugements au sein des Nations Unies.
« Les Nations se sentent obligées de vérifier si les lois existantes sont valables ou si elles doivent être ajustées. Traiter avec des groupes musulmans implique clairement un nouveau défi politique, car de nombreux musulmans préservent farouchement leurs valeurs culturelles et religieuses et les transmettent à l’intérieur de leurs communautés, tout en les défendant de façon virulente à l’extérieur. »
F. Strünning déplore que les Autorités politiques allemandes se plient de plus en plus aux pressions des organisations islamiques allemandes en adoptant les définitions musulmanes de l’islamophobie, lors de discours publics, créant ainsi une incertitude légale, quant à qui peut dire quoi à propos de l’islam et des musulmans en Allemagne. Par exemple, les autorités allemandes ont officiellement confirmé qu’elles surveillaient les sites internet allemands qui critiquent l’immigration musulmane et l’islamisation de l’Europe.
Et Strüning de conclure :
“Les personnes qui critiquent l’idéologie et les organisations islamiques sont constamment confrontées à des poursuites judiciaires et doivent se défendre contre les accusations de blasphème ou d’incitation à la haine. Même si elles n’aboutissement pas toujours à une condamnation, cela coûte énormément de temps et d’argent, et ces personnes voient leur réputation salie et parfois perdent leur emploi. Dès lors, même en Occident, nous assistons à l’application de facto de la loi islamique de la charia en ce qui concerne l’islam. »
« Les Allemands constatent que la « spirale du silence » en relation avec l’islam est déjà appliquée aujourd’hui. Lors d’une enquête représentative en Allemagne, la majorité des gens interrogés a admis ne pas oser critiquer l’islam et les musulmans en public »…
Rosaly : Amer constat et conclusion d’une extrême gravité. Jusqu’où ces irresponsables politiques, semeurs de haine envers leurs propres peuples, vont-ils pousser les limites de l’insupportable et nous imposer humiliation et soumission à l’idéologie islamique et à ses fidèles ; à faire de nous, dans nos propres pays, des parias réduits au silence, tout en fermant les yeux sur les associations musulmanes, écoles islamiques, mosquées, qui prêchent et enseignent la haine de la société occidentale, de la laïcité, de la démocratie, de ses valeurs fondamentales, de ses citoyens, et d’Israël.
Par leur déni obstiné de la réalité, ils deviennent complices de la propagation de l’islam, l’islam suprémaciste, conquérant, belliqueux, liberticide, avec son cortège d’actions violentes et de revendications de plus en sectaires et communautaires. Plus l’Occident se veut humaniste, altruiste, ouvert, généreux, au détriment de ses propres peuples, plus il est haï, détesté, critiqué, menacé par ceux qu’il accueille, protège et nourrit gracieusement.
Notre tolérance est aujourd’hui utilisée contre nous et l’issue ne peut être qu’une seule… soit la révolte des peuples, soit leur soumission totale à la nouvelle idéologie islamo-nazie.
Ne réalisent-ils pas qu’ils sont en train de créer le terreau propice à l’explosion de futures guerres civiles en Occident ?
Grâce à cette politique d’immigration suicidaire de l’Occident, délibérément imposée par l’UE « prix Nobel de la Paix », le spectre de conflits inter-confessionnels hante à nouveau le ciel de l’Europe.


Source : http://www.gatestoneinstitute.org/4092/europe-islamic-fundamentalism. Europe: Islamic Fundamentalism is Widespread, by Soeren Kern, traduit, adapté et commenté par Rosaly.
vu ici

lundi 30 décembre 2013

Un appui important à la charte des valeurs québécoises

L’avis d’un expert fédéral : Roger Tassé
Robert Barberis-Gervais
Tribune libre de Vigile
lundi 30 décembre 2013
Il vient de se produire un événement d’une importance politique considérable. L’ancien sous-ministre fédéral de la Justice Roger Tassé a donné une entrevue à Guy Gendron à la radio de Radio-Canada lors de l’émission "Désautels le dimanche" à dix heures du matin, le 29 décembre 2013.
Pour susciter votre intérêt, citons les derniers mots de Guy Gendron : « Je crois que Madame Marois sera très contente de vous avoir entendu ». Citons aussi le titre de l’article de Guy Gendron sur le site de la radio de Radio-Canada : « Le père de la Charte des droits et libertés en faveur de celle des valeurs » ce qui veut dire que le père de la Charte canadienne des droits et libertés de 1982 est en faveur de la Charte des valeurs québécoises et de la loi 60.
L’avocat Roger Tassé n’est pas n’importe qui. Haut fonctionnaire fédéral pendant 35 ans, M. Tassé était sous-ministre de la Justice lors du rapatriement de la Constitution en 1982, sous Jean Chrétien. Il a coordonné et supervisé le travail de rédaction de la Charte canadienne des Droits et libertés. Auteur du livre « Ma vie, le droit, la Constitution et bien plus encore ! : mémoires d’un sous-ministre fédéral de la justice », il croit que le gouvernement québécois peut espérer que sa charte des valeurs sorte gagnante d’un « combat des chartes » si elle est contestée devant les tribunaux.
Il faudrait retranscrire mot à mot ce que Roger Tassé a dit pendant l’entrevue. Voici le lien pour entendre l’entrevue. Écoutez l’entrevue intégrale Roger Tassé a accordée à Guy Gendron dans le cadre de l’émission Désautels le dimanche en cliquant ici : http://rc.ca/1lrp76S. C’est accessible sur Radio-Canada.ca, radio,« Désautels le dimanche », le combat des chartes, 29 décembre 2013.
Roger Tassé conteste l’opinion formulée par la commission des droits de la personne qui dit que ce serait illégal en vertu de la Charte canadienne des droits d’interdire le voile sur les lieux de travail dans la fonction publique. « Je ne suis pas sûr de ça » a-t-il dit. Il a ajouté : « L’interdiction du voile et de signes ostentatoires pourrait se justifier ». Donc, dit Guy Gendron, dans les services fournis par l’Etat, l’interdiction du voile serait légitime. « C’est ce que je dis », commente Roger Tassé. « Il y aurait là un argument ».
Vers la fin de l’entrevue, Roger Tassé note la place prééminente qui a été donnée dans la Charte canadienne des droits à l’égalité homme-femme qui est mentionnée deux fois plutôt qu’une. « L’égalité a donc une valeur plus grande, c’est fondamental ».
Il était urgent de faire connaître cette entrevue à cause du poids politique de l’opinion d’un expert de la taille de Roger Tassé. On en tirera plus tard les conséquences par une analyse détaillée. Vos commentaires sont les bienvenus…après avoir écouté l’entrevue d’une dizaine de minutes.
vu ici

Derrière le débat sur la Charte, l’enjeu véritable... l’immigration !

Parmi les milliers d’articles sur la Charte, je considère celui-ci comme un des meilleurs.
Il nous indique l’enjeu et l’ampleur d’une politique à nous unir dans un mouvement de reconnaissance face à notre survie. Si nous ne voulons pas disparaître dans le multiculturalisme et s’éteindre comme un peuple soumis, nous devons appuyer cette Charte qui n’est qu’un début à nous faire reconnaître comme Québécois. En soumettant cette loi, le gouvernement Marois est le seule à combattre pour la défense de notre identité.
Lorraine

Le gouvernement Marois face à son plus gros défi   
Richard Le Hir
La Charte
Voilà déjà quelques mois que nous parlons de la Charte, et à mi-chemin, le débat a déjà fait un bon nombre de victimes. Certaines sont assez évidentes, d’autres moins. Dans le camp des premières, Maria Mourani et Dalila Awada, pour commencer par les plus spectaculaires.
Maria Mourani, confrontée à l’impossibilité de se faire réélire sous la bannière du Bloc Québécois dans son comté, s’est crue maligne en saisissant le prétexte de la Charte pour se repositionner politiquement. Mal lui en a pris ! Son opportunisme a été dénoncé de toutes parts, et Gilles Duceppe l’a même accusée sur les ondes de Radio-Canada de « hargne viscérale contre Israël », ce qui lui ferme définitivement la porte du PLC ou du NPD. C’en est donc fini de sa carrière au fédéral, et au Québec, il n’est même pas certain que Québec Solidaire lui tendrait une main secourable.
Quant à Dalila Awada, cette jeune musulmane aux traits flatteurs que Guy A. Lepage avait invité à son émission pour l’opposer à l’écrivaine et militante Djémila Benhabib, il n’aura fallu que la diffusion d’une vidéo sur YouTube reprise sur Vigile le 5 octobre sous le titre Ce qu’elle ne nous a pas dit à « Tout le Monde en Parle » pour démontrer ses liens avec le mouvement islamiste et démolir complètement sa crédibilité.
Notons au passage que cette vidéo et son texte d’accompagnement ont d’ailleurs valu à Vigile une affluence record qui lui a permis d’atteindre les 36 000 visiteurs le 8 octobre. Sur le seul site de Vigile, cette vidéo a été visionnée 120 000 fois en octobre, ce qui lui confère presque un statut viral, d’autant plus que ce calcul ne tient pas compte des chiffres de la source originale. Notons en passant que YouTube l’a retirée pendant quelques semaines, puis l’a remise en ligne en mettant son compteur à zéro. Entre-temps, elle était reparue sur le site Tag-Télé .
Parmi les autres victimes, notons l’ancienne journaliste et présidente du Conseil du statut de la femme Julie Miville-Deschênes dont on a appris qu’elle avait été nommée à ce poste en raison de ses liens d’amitié avec son ex-collègue à Radio-Canada, députée libérale et ancienne ministre libérale Christine St-Pierre. Son intervention fracassante aux tout débuts du débat sur la Charte était empreinte de partisanerie politique et ne reflétait même pas le consensus de l’organisme qu’elle préside. Du coup, elle a perdu toute crédibilité dans la suite du débat en plus de saper l’autorité morale du Conseil.
La même chose est arrivée au constitutionaliste Jacques Frémont, Libéral notoire, qui venait tout juste d’être nommé président de la Commission des droits de la personne, lorsqu’il a pris l’initiative de se prononcer sur le projet de Charte sans même que le Gouvernement ne lui ait demandé son avis. Ce faisant, il commettait une bourde inexcusable de la part d’un juriste de sa trempe, en plus de se discréditer pour la suite du débat et de miner complètement l’impartialité de la Commission. Pour plus de précisions sur son dérapage, je vous renvoie à mon article intitulé Un « cheval » sur la soupe, publié dans la foulée de son intervention.
Un débat comme celui-là n’allait évidemment pas laisser indifférents les deux comparses de la Commission Bouchard-Taylor qui allaient y voir l’occasion d’intervenir pour exercer leur magistère d’experts autoproclamés en la matière.
On se souviendra que leur performance n’avait pas impressionné outre mesure lors des travaux de leur Commission et que leur rapport comportait au moins une sérieuse lacune méthodologique en ce qu’il avait complètement escamoté l’examen des fondements de la doctrine des accommodements raisonnables, un exercice qui en aurait démontré toute la fragilité voire même l’ineptie. Comme je le soulignais dans un article publié sur Vigile en 2010  :
« Entièrement axé sur la promotion des droits individuels, le concept des accommodements raisonnables fonctionne à sens unique et impose tout le fardeau à la collectivité d’accueil, sans aucune obligation substantielle de contrepartie pour les personnes qui les revendiquent.
Habitués à l’agression et ayant développé quelques réflexes de survie, les Québécois ont tout de suite ressenti un malaise qu’ils se sont empressés d’exprimer de toutes sortes de façons plus ou moins maladroites, mais qui tranchaient singulièrement sur l’indifférence à peu près générale avec laquelle ce concept avait d’abord été accueilli à travers le Canada
Suite au tollé suscité par certaines demandes, et dans la foulée du Rapport Bouchard-Taylor, le gouvernement Charest a bien introduit un engagement moral à respecter les valeurs de la société d’accueil, la nôtre en l’occurrence, que les immigrants doivent signer avant d’être admis au Québec, mais cet engagement n’a aucune portée juridique alors que les droits que leur reconnaissent les chartes, eux, en ont toute une.
Il faut donc comprendre de cet engagement moral qu’il vise d’abord à calmer les esprits des Québécois en leur offrant une fausse sensation de sécurité pour leur avenir collectif devant le phénomène de l’immigration. Une sorte de Valium collectif, quoi.
Le plus surprenant, c’est que je vous mets au défi de trouver la moindre référence à cette problématique dans le Rapport Bouchard-Taylor. Comme si elle n’existait pas. On se serait attendu à trouver dans une étude sérieuse (l’expérience, ça compte !) une analyse des origines et de l’évolution du concept des accommodements raisonnables, de même que de ses forces et de ses faiblesses dans l’encadrement de la réalité québécoise. Mais rien de tout cela !
En fait, le Rapport Bouchard-Taylor est construit sur un a priori très discutable - le concept des accommodements raisonnables tel que développé par la Cour suprême dans le contexte que vous connaissez maintenant - qui ne résiste pas cinq minutes à une analyse sérieuse. Pour deux universitaires de la trempe de MM. Bouchard et Taylor, il s’agit d’une bourde monumentale qu’ils auraient été les premiers à mettre en relief dans les travaux de leurs étudiants de première année. En effet, dans une situation comme celle que nous vivons, le contexte constitutionnel et juridique comptait tout autant que le contexte sociologique, et peut-être même davantage.
Et la simple inclusion de ces deux paramètres dans l’équation vous permet tout de suite de comprendre sans aller plus loin que leur Rapport aurait été très différent s’ils en avaient tenu compte.
Au lieu de cela, un torrent de verbiage mollasson arrosé à la sauce politiquement correcte, si peu convainquant que le gouvernement Charest, pourtant pas le plus rigoureux sur le plan méthodologique, a immédiatement jugé prudent de prendre ses distances. Mais si l’on comprend pourquoi, on ne peut en revanche pas accepter qu’il laisse depuis les Québécois se dépatouiller tout seuls dans cette mélasse qui est devenue la référence à utiliser dans toute situation délicate survenant dans les rapports majorité/minoritaires au Québec.
Inconscient, irresponsable, coupable ? Probablement les trois à des degrés divers.
Encore une fois, on aurait voulu le faire exprès pour empêcher les Québécois de devenir la société distincte à laquelle ils aspirent qu’on ne s’y serait pas pris autrement. »
J’étais donc en alerte lorsque Charles Taylor, en août dernier, fut l’un des tout premiers à intervenir publiquement pour stigmatiser l’intention du gouvernement Marois de déposer ce qu’il appelait alors son projet de Charte des valeurs québécoises. Devenu conscient de l’ampleur du projet de Nouvel ordre mondial auquel nos élites ont souscrit, je n’eus aucune peine à découvrir la preuve que Charles Taylor appartenait à cette mouvance et qu’il était même financé par celle-ci :
« Pour que ce nouvel ordre advienne, les États nationaux et les différences identitaires doivent s’effacer au bénéfice de normes universelles permettant à tous de vivre en harmonie dans le même marché mondial qui, faut-il le préciser, ne profite qu’à ceux qui le contrôlent. Autrement dit, il faut renoncer à notre « nous » et à la part de contrôle qu’il nous procure sur notre environnement, pour passer en mode « moi » dans un monde sur lequel nous n’aurons plus aucun contrôle.
On appelle ça un marché de dupes.
Voilà l’enjeu qui se profile derrière l’adoption d’une Charte des valeurs québécoises. Et si le gouvernement Marois recule, le Québec et les Québécois franchiront un pas de plus vers leur disparition. [...]
Aujourd’hui, Taylor, récipiendaire en 2007 d’une bourse de plus d’un million de dollars de la Templeton Foundation, un organisme américain sans but lucratif ultra-conservateur aux prétentions pseudo-scientifiques qui propage des idées favorables à sa thèse, vient faire la leçon aux Québécois, pour le compte de ses amis américains ploutocrates et leurs affidés canadiens, et pour promouvoir leur agenda. Sa crédibilité est nulle !
Y’a toujours ben un « boutte » à prendre les Québécois pour des caves. »
Évincé du jeu dès le début du débat, Charles Taylor allait se faire discret par la suite. Restait son collègue Gérard Bouchard qui allait chercher à marquer quelques points pour son camp au cours de l’automne, sans grand succès.
Tout sociologue qu’il est, Bouchard est prisonnier d’une thèse qui l’empêche d’utiliser les règles de sa discipline pour faire une juste analyse de la situation, une analyse qui lui permettrait justement de voir que le modèle de société auquel il adhère ne correspond pas à l’expérience historique de la majorité francophone, ni à leur besoin d’affirmer clairement et distinctement leur identité fasse à une déferlante de valeurs étrangères aux leurs par lesquelles ils se sentent, à juste titre, menacés.
Ajoutez à cela une arrogance intellectuelle qu’il ne parvient pas à dissimuler et un attachement à un modèle d’autorité d’une autre époque, et vous avez là un joueur qui va se révéler davantage un fardeau qu’un atout pour son camp dans la prochaine manche.
À un moindre degré, d’autres intervenants ont également perdu des plumes dans le débat. Il a été très intéressant d’observer à quelle vitesse le PLQ et son nouveau chef Philippe Couillard se sont retrouvés sur la défensive, parfois même de l’intérieur avec les objections de la députée Fatima-Houda-Pépin, et le contexte général tout autant que le nombre de dossiers ouverts donnent à un observateur bien informé tout lieu de penser que la série des malheurs du PLQ amorcée avec la défaite de Jean Charest en 2012 va se poursuivre en 2014.
Le débat sur la Charte a en outre l’inconvénient de placer les Libéraux dans la position d’avoir à faire un choix entre les anglos/allos et les francophones. L’électorat anglophone et allophone leur est acquis. Ils ne peuvent que le perdre. Pour reprendre le pouvoir, ils doivent conserver leur base et convaincre une proportion suffisante de francophones pour obtenir la majorité des sièges à l’Assemblée Nationale. Avec un enjeu comme la Charte, la partie va être très difficile pour eux, car toute concession aux francophones sera perçue comme une trahison par les anglos/allos », et vice versa.
Dans cette revue des joueurs, il ne faudrait surtout pas oublier les médias qui sont devenus des acteurs politiques de premier plan. Ainsi, Radio-Canada a l’obligation, en vertu de sa loi constitutive de promouvoir l’unité canadienne, et par conséquent le multiculturalisme qui est inscrit dans la Constitution en tant que valeur garante de cette unité. On comprend dès lors que l’information émanant de Radio-Canada risque d’être fortement colorée par cette obligation à un moment où un gouvernement provincial remet en question cette valeur. Or à quel moment l’information commence-t-elle à devenir de la propagande ? Et à quel moment un journaliste cesse-t-il de l’être pour n’être plus qu’un agent d’information ou un relationniste.
Jusqu’ici, le débat sur la Charte met en relief de façon très crue le biais politique de Radio-Canada et de certains de ses journalistes, et leur crédibilité professionnelle s’en trouve fortement écorchée. Ce débat va laisser des marques profondes, probablement encore plus profondes que celles du référendum de 1995.
Chez Gesca, on a bien tenté de nous faire croire au cours des ans que les interventions de la direction dans les orientations politiques de leurs journaux se limitaient à l’éditorial, mais tout observateur attentif de la scène politique québécoise depuis le milieu des années 1960 a depuis longtemps compris que l’entreprise prenait tous les moyens à sa disposition pour promouvoir son agenda politique fédéraliste et multiculturaliste, que ce soit dans ses éditoriaux, dans son choix de chroniqueurs, dans sa sélection des informations, dans sa sélection des opinions à publier, dans les titres et la mise en page, et jusque dans le choix des photos pour avantager certaines personnes ou nuire à d’autres, selon la thèse qu’ils favorisent.
À force de se retrouver à contre-courant du sentiment populaire francophone, les journaux de Power vont perdre à la fois du lectorat et de l’influence. Le fait qu’ils publient en langue française les prive de l’avantage du PLQ qui peut compter sur une base anglo/allo pour se perpétuer. Un jour sans doute pas très lointain, on apprendra que Bell, dans un souci de convergence pour maximiser le rendement de ses investissements dans les médias, souhaite acquérir Gesca.
Chez Québecor, les positions sont plus nuancées et la décision du grand patron Pierre-Karl Péladeau d’afficher ses couleurs a certainement contribué à rééquilibrer la couverture que plusieurs croyaient, à tort, acquise irrémédiablement à la droite néo-conservatrice, au courant mondialiste et au camp fédéraliste.
Par ailleurs, la participation très active de Julie Snyder, vedette de la télévision et conjointe de PKP, au mouvement des « Janette », a aidé à la promotion et l’acceptation de la Charte dans certains milieux qui auraient pu facilement être réfractaires.
Il est enfin frappant de découvrir que le Journal de Montréal rivalise désormais avec Le Devoir dans les analyses de haute tenue, comme le sont, par exemple, celles de Mathieu Bock-Côté qui s’est particulièrement illustré dans le débat sur la Charte.
L’immigration
Cela dit, nous abordons maintenant la seconde phase de ce débat qui risque de demeurer un grand exercice d’agitation sociale si ne s’y ajoute pas rapidement un second volet qui lui donnera tout son sens, l’immigration. Jusqu’ici, le gouvernement Marois ne s’est guère avancé, se contentant de réduire de 55 000 à 50 000 le quota annuel de nouveaux immigrants admis au Québec.
Or nous savons tous que le Québec peine à intégrer ses immigrants. Mais comme je le soulignais déjà à la mi-septembre de cette année au moment de la première sortie de Maria Mourani dénonçant le « nationalisme ethnique » à la base de ce que le gouvernement appelait encore sa Charte des valeurs québécoises,
[...] le projet de Charte des valeurs mis de l’avant par le gouvernement Marois n’est aucunement inspiré par le nationalisme ethnique, et je serais le premier à le dénoncer si c’était le cas.
Cela dit, il faut comprendre que la situation en 2013 est très différente de ce qu’elle était en 1996 au moment de l’adoption de ma motion [condamnant le nationalisme ethnique sous toutes ses formes] par l’Assemblée Nationale. Le contexte n’est plus du tout le même. Le projet de Charte des valeurs vise à rassurer les Québécois sur une évolution démographique et sociale dans laquelle ils ne se reconnaissent pas, et ils n’ont aucune confiance, à très juste titre comme je l’ai démontré dans un article récent, et comme mon analyse est confirmée ici , dans la capacité du modèle multiculturel à les protéger contre ce qu’ils perçoivent comme un envahissement et une dépossession.
En cela, ils ne sont guère différents des Anglais, des Européens du sud, et notamment des Français, dont les gouvernements ont ouvert toutes grandes les portes à l’immigration pour favoriser une croissance rapide de leur économie.
Mais hélas, les recettes qui ont fonctionné dans le passé ne fonctionnent plus aujourd’hui. Tant qu’il s’agissait d’ouvrir les portes aux ressortissants issus du même bassin de civilisation et de culture, l’immigration s’est révélée facile et très utile.
Mais lorsque l’immigration en provenance de pays de ce bassin a commencé à se tarir, les dirigeants politiques, aveugles à toute autre réalité que la croissance du PIB, ont pensé que les humains étaient tous interchangeables, et se sont lancés dans ce que j’appellerai, pour les fins de cette démonstration, « l’immigration panachée ». Quelques dizaines de milliers de ceux-ci, quelques dizaines de milliers de ceux-là, un zeste d’une autre provenance, et on brasse le tout pour la plus grande joie et le plus grand profit des promoteurs immobiliers de banlieues et des opérateurs de grandes surfaces. Je caricature, mais à peine.
Les problèmes de tous ordres n’ont pas tardé à apparaître. Les problèmes liés à l’étalement urbain, au transport en commun, à l’accroissement de la demande de services sociaux et de santé, etc. Les bénéficiaires des politiques de l’immigration s’en déchargent bien entendu sur l’État qui est justement là pour ça, n’est-ce pas ? C’est ce qui nous vaut ces situations détonantes qui sont en train d’éclater un peu partout dans le monde.
Et la difficulté se présente partout de la même façon. Certaines communautés ne parviennent pas à s’intégrer ou le font difficilement à cause de différences trop grandes en termes d’éducation, de niveau social, de culture, de langue et de valeurs.
Le Canada a connu un exemple parfait de ce genre de drame d’intégration avec l’affaire Shafia lorsque les valeurs traditionnelles des membres de sexe masculin d’une famille sont entrées en conflit avec celles de leur milieu d’accueil, et se sont soldées par un crime « d’honneur » (sic) au cours duquel quatre membres de sexe féminin de la même famille ont trouvé la mort.
Bien entendu, des drames de cette ampleur ne se produisent pas tous les jours, mais pour un seul comme celui-là, combien d’autres plus petits qui laissent des cicatrices, physiques ou psychologiques, tant sur les immigrants eux-mêmes que sur leurs milieux d’accueil ?
Et la crise économique que nous vivons depuis maintenant cinq ans ne fait qu’aggraver les choses. Dans un contexte où les finances publiques sont serrées et les déficits s’accumulent, les choix et les réflexes de solidarité deviennent plus difficiles. La prospérité est facile à partager, mais quand vient le temps de répartir la misère, le réflexe humain naturel est de limiter la solidarité aux siens les plus proches.
Ainsi, au Canada, une étude récente de l’Institut Fraser commentée largement au Canada anglais, mais à laquelle Vigile a été le seul média au Québec à y faire écho , révélait que l’immigration imposait aux contribuables canadiens un fardeau budgétaire additionnel de 20 milliards $ par an.
La somme est colossale, et pour le Québec seulement, elle s’élève à environ 4 milliards $ par an, largement de quoi remettre en question, sur sa seule base économique, le bien-fondé de nos politiques d’immigration, sans même parler des conséquences sociales, culturelles, linguistiques et politiques.
On comprend dès lors que les apôtres du multiculturalisme au Québec se soient bien garder de diffuser une telle information dans le contexte du débat sur la Charte des valeurs, car cette étude nous place devant une conclusion à laquelle il n’y a pas moyen d’échapper : ce sont les mauvaises décisions de nos dirigeants politiques en matière d’immigration ces vingt dernières années qui sont à l’origine de ce sentiment que partagent une majorité des Québécois d’être menacés dans leur identité et dans leur survie en tant qu’entité distincte.
Et l’on comprend aussi que la déclaration de Maria Mouriani dénonçant la prétendue dérive de la société québécoise vers le nationalisme ethnique est cousue de fil blanc [...]
La problématique de l’immigration, c’est celle-là. C’est à cette problématique que la Charte tente d’apporter une réponse. Mais devant son énormité et sa gravité, force est bien de constater que la Charte ne constitue qu’un timide commencement de réponse. Et je doute fort que les Québécois trouveront suffisant le seul argumentaire de la laïcité pour les convaincre que le gouvernement Marois a à coeur la défense de leur identité.
Pour rester dans l’atmosphère des Fêtes...
Merci pour les hors-d’oeuvres. Où est le plat de résistance ?
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Je suis pour la Charte... des droits

Il est plus que temps de cesser les procès d'intention.

Être favorable à la Charte des valeurs ne veut pas dire qu'on soit xénophobe ou raciste.

Être contre la Charte des valeurs ne veut pas dire qu'on soit contre le fait national québécois ou contre l'affirmation de sa particularité distincte.
J'affirme cela car je n'ai aucune gêne à défendre l'idée de Charte des droits tout en étant un fier défenseur de l'identité nationale québécoise.
La protection des droits de la personne à la base de la civilisation occidentale
À entendre certains partisans de la Charte des valeurs, c'est comme si être partisan de droits protégés constitutionnellement (ou quasi constitutionnellement) était mauvais, que cela allait contre l'identité du Québec.
Être favorable à la protection de droits de la personne et des minorités n'est pas être anti-québécois.
Être favorable à des protections constitutionnelles de ces droits ne fait pas de quelqu'un un trudeauiste qui rêve d'effacer la personnalité distincte du Québec, comme certains accusent les opposants à la Charte des valeurs.
L'idée de protéger les droits individuels des humeurs des majorités ou des exagérations de l'État est à la base de la civilisation occidentale moderne.
Qu'on pense à la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen rédigée en France pendant la Révolution française ou le US Bill of Rights datant de la même époque, depuis plus de 200 ans, le progrès des sociétés a pu être mesuré à l'aune des droits des individus.
C'est ce qui fait que, pour moi, l'argument selon lequel une majorité de Québécois est en faveur de la Charte des valeurs ne tient pas, surtout lorsqu'on insiste sur le fait qu'une majorité de francophones le soit encore plus (mon opinion compterait-elle plus que celle de mon épouse, anglophone de naissance?).
La Charte québécoise des droits de la personne, adoptée par l'Assemblée nationale du Québec, a été conçue pour mettre les individus et les minorités à l'abri de la majorité. C'est un choix de projet de société qui valait en 1975 - et qui vaut encore plus aujourd'hui dans ce Québec plus divers, plus hétérogène qu'il était alors.
Comme l'a affirmé un chroniqueur du Devoir, il est normal qu'une Charte des droits ne puisse être amendée aussi facilement que le Code de la route. Et si elle est pour être amendée, de sérieuses études devraient être à la base de tout changement. Et l'opinion de l'organisation chargée de la mettre en oeuvre ne devrait pas être écartée du revers de la main comme l'a fait le gouvernement Marois avec l'avis de la Commission des droits de la personne.
« Wedge politics »
Dans ce dossier, le Parti québécois fait de la politique de clivage (wedge politics). Ce sera peut-être payant électoralement à court terme, mais le PQ risque d'y perdre son âme.
Il va certainement à l'encontre de sa propre histoire.
Au début du mouvement indépendantiste moderne, les organisations s'appelaient Rassemblement pour l'indépendance nationale et Ralliement national. Cela démontrait la volonté de rassembler autour d'une belle idée, de réunir les gens autour d'un projet.
Ceci est encore plus vrai pour le Parti québécois, dont le nom lui-même évoque la nation qu'il souhaite unir et amener à la souveraineté nationale. Le Parti québécois : quel beau nom! Le Parti québécois a dans son ADN l'objectif d'être le parti de tous les Québécois.
Avec son projet de Charte des valeurs, le Parti de René Lévesque se renie lui-même, fait de la politique de clivage, tourne le dos aux minorités et revient à une conception canadienne-française de l'identité québécoise.
En continuant dans la voie qu'il semble avoir choisie, le Parti québécois ne pourra, à terme, que se nuire et endommager le projet duquel il se dit le porteur.
Quel gâchis...
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Les nouvelles guerres religieuses : les “arabes” entre Koreich et Internet

Les nouvelles guerres religieuses : les pieds ici, la tête au 8ème siècle

Par Kamel Daoud

kamel
Mozabites contre Arabes. Sunnites contre chiites. Et ainsi de suite. Un demi siècle après les décolonisations, le monde dit «arabe» sombre dans la démangeaison. Au galop vers les siècles d’antan où l’on tuait selon le calife contre un autre calife. Pourquoi ces divergences qui remontent à plusieurs siècles remontent-elles aujourd’hui à la surface ? Parce qu’il n’y a pas plusieurs siècles entre un «arabe» du 7eme et un autre du 20ème siècle. Le temps n’est pas passé. N’a pas été résolu. Il est là avec le même peuple dans le gosier, entre Koreich et internet.
Et ensuite parce que les régimes ont échoué, les décolonisations aussi et les élites de gauches qui se sont enfermées dans le déni et la paranoïa du complot et de la cause palestinienne à ressasser comme un dogme. Du coup, ne sachant pas par où passer, le Temps célèbre et Sacré a reflué vers ses premiers oueds avec des millions affolés, sandales à la main, courant turbans déroulé vers les temps antiques. Là où on n’avait pas encore tranché entre Ali, Aïcha, Mou3awiya, Kharijites et tribus chiites et yéménites. Quand on enjambe mal un siècle, il vous marche dessus et revient vous piétiner.
Et encore ? A cause de ce que l’on voit, écoute, entend et ressasse : les chaînes saoudites wahhabites, les TV religieuses, la caste des imams hurleurs, les fatwas à la place des institutions, tout cela a fait basculer une jeunesse que l’on croyait libérée par la libération, vers le moyen-âge le plus misérable, les idées de morts qui tuent encore et les visions du monde des temps supposés anciens, purs, des salafs. Aujourd’hui, un jeune en Irak ou à Ghardaïa, est infecté par les mêmes visions mortes du monde d’il y a dix siècles.
Il a les pieds sur sa terre et la tête dans la tête des cimetières et des cadavres des califes.
Alors il prend la machette, le turban, le tapis, la pierre ronde et le sabre et s’en va tuer, prêcher et rééditer les guerres et les butins et les suprématies démodées.
Dieu est aujourd’hui un abattoir. Ou un mur de nos ridicules. La stèle de nos égorgements. En son nom les « Arabes » se tuent ou tuent partout, explosent, assassinent ou fuient, se sauvent et s’exilent pour sauver ce qui reste de leur humanité. Cela va des Boko Haram au flanc sud, aux tueurs de chrétiens au flanc oriental et jusqu’à ce fait divers de la guerre des sexes dans la mosquée de Paris où des violences à Ghardaïa. A Paris, les femmes ne voulant prier sous les pieds des hommes mais derrière, ont fini par être battues ou par battre ou par simuler. On ne sait plus. Dans les guerres au nom d’Allah, il n’y a plus une partie qui a raison et une autre qui a tort. Dans le monde de l’absurde, la raison est un ballon ou un lapin assis sur un mur. Ne cherchez plus, regardez, subissez ou révoltez-vous. Chiites, sunnites, mozabites, «arabites» ou Djihadistes, il s’agit d’une maladie et d’une rouille de l’époque. C’est un effondrement lorsqu’on relit sur le net et dans les cafés les convictions surréalistes et intolérantes et primaires des jeunes nés hier mais qui vivent dans une époque d’il y a douze siècles, l’épée entre les dents, sexistes, intolérants, laids et violents comme des tribus affamés par le désert. Il ne s’agit plus d’une polémique ou de débat sur l’Islam, Dieu ou la loi et le Livre, mais d’un naufrage que l’on doit regarder avec lucidité et analyser avec honnêteté. Sans cela, on y participe malgré soi : par la bouche, l’idée ou la main. Selon sa mauvaise foi.

https://www.facebook.com/kamel.daoud.7/posts/579380542144462

 

Indonésie : le foulard « fashion » gagne du terrain

Indonésie : le foulard « fashion » gagne du terrain
Ce foulard à la mode dit « islamique » est devenu en peu de temps, l’attraction des indonésiennes du sud de l’archipel asiatique.
Une nouvelle lubie
Ce style vestimentaire ne représente pas seulement un engagement religieux pour ces femmes voilées mais aussi une nouvelle tendance, un changement qui semble s’accroître au fil des années, depuis que les femmes indonésiennes s’étaient lassées des voiles simples de couleurs noir et blanc qu’elles associaient à une « vie démodée » : « Les hijabs sont tout mignons et je ne peux pas m’empêcher de les acheter » a déclaré Fani, une employée d’une compagnie d’assurance, limite subjuguée par ce nouveau phénomène épidémique.
Non conforme à l’éthique islamique 
Car oui, il faut le souligner, ce voile aux couleurs attrayantes va à l’encontre de ce qu’il est censé symboliser, loin d’être un accessoire de mode. Il est donc primordial de revoir sa véritable signification définit dans le message divin ainsi que l’éthique vestimentaire des femmes selon les lois légiférées par l’Islam, affiliant pudeur et discrétion.

Les musulmans européens jouissent du droit exclusif de conserver le mode de vie reposant sur la religion traditionnelle /Les chrétiens européens et les Européens en général sont privés de ce





La presse occidentale abonde en publications consacrées aux atteintes aux droits des chrétiens en Europe. Les experts constatent avec anxiété l’extinction de la civilisation européenne traditionnelle et un regain d’influence de l’alternative musulmane.



Des formes nouvelles de discrimination, pour ne pas dire de persécutions, des chrétiens apparaissent en Occident. Il est facile de s’en convaincre sans mener des études spéciales : il suffit de lire les informations sur les événements de ces dernières semaines.

Prenons à titre d’exemple le récent scandale en Grande-Bretagne où les responsables de la chaîne Marks and Spencer (M&S) ont autorisé les vendeurs musulmans à ne pas servir les clients achetant de l’alcool ou de la viande de porc. Un porte-parole de M&S a ajouté que la chaîne visait à créer « un milieu libre de la discrimination » et, dans cet ordre d’idée, allait à la rencontre des vœux du personnel. M&S se proposait d’étendre sa nouvelle politique sur les représentants d’autres confessions, plus particulièrement les chrétiens qui ne voulaient pas travailler dimanche et les juifs célébrant samedi. Les dirigeants de la chaîne ont annulé leur décision face à de nombreuses protestations. Ce qui n’a pas d’ailleurs modifié la position des gens qui ont soutenu l’appel à boycotter la chaîne.

En Europe de nos jours nous assistons à deux processus simultanés ayant des vecteurs opposés. Les musulmans européens jouissent du droit exclusif de conserver le mode de vie reposant sur la religion traditionnelle auquel ils sont habitués depuis la naissance.

Les chrétiens européens et les Européens en général dont le mode de conduite repose sur le paradigme chrétien sont privés de ce privilège. Cette situation est aggravée par la sécularisation de la vie sociale européenne.

Selon Konstantin Voronov de l’Institut de l’économie mondiale et des relations internationales de l’Académie des sciences de Russie, de fait, nous avons affaire aux doubles standards :
« Cela tient aux processus d’érosion historique et culturelle dans les conditions de la mondialisation, aux processus approfondis se produisant dans les sociétés occidentales qui ont abouti à des changements dans les domaines spirituel et moral. A mon avis, c’est un phénomène objectif. Avant, l’humanité vivait sur des « îlots » de civilisation dans des espaces isolés. A présent, des processus de migration se sont intensifiés ce qui engendre des conflits ».

Selon les apologistes de la politique de migration intense, les immigrés augmentent la base imposable et aident à compenser les dépenses publiques croissantes occasionnées par la nécessité d’entretenir les personnes âgées. Les immigrés sont simultanément les travailleurs et les consommateurs : en occupant des postes de travail ils augmentent la demande. Cela stimule l’emploi. Les immigrés ouvrent des entreprises nouvelles et participent directement à la création de nouveaux emplois. Bref, c’est plutôt un bien pour l’économie de l’UE.

Mais l’économie n’est qu’une partie de la vie. Les processus en question ne peuvent pas être qualifiés de positifs du point de vue de la préservation de la civilisation européenne. Car ils sapent les fondements de cette dernière. En d’autres termes, les immigrés apportent une culture, une tradition et une confession différentes et créent des copies de leur univers au cœur du Vieux continent.

Cela avec le soutien énergique des autorités européennes qui font tout leur possible pour que la population autochtone* ne se sente pas comme chez elle. D’où les excès à l’instar de celui de M&S, note le professeur du Haut collège d’économie Oleg Matveïtchev.

« L’idée de « partager pour régner » redevient actuel dans les conditions de la mondialisation. D’où la tendance à encourager toute sorte de différences. C’est l’essence de la philosophie de post-moderne. On ne peut pas dire que cette philosophie est intransigeante envers les valeurs chrétiennes. Elle est intransigeante envers les valeurs de toute identité collective. Le christianisme est devenu la première cible de destruction en Europe. La situation est actuellement telle qu’il est de fait impossible de rencontrer un Européen croyant. Sans la Pologne et l’Espagne, deux pays catholiques traditionnels, les musulmans auraient été plus nombreux en Europe que les chrétiens ».

Au lieu du christianisme traditionnel Bruxelles a engendré une religion nouvelle prônant la mondialisation, l’égalitarisme, les frontières ouvertes et le gouvernement mondial. Selon les hauts responsables européens, les gens de par le monde assimilent volontiers les valeurs, les institutions et la culture occidentales parce qu’elles incarnent la pensée supérieure, la plus libérale, la plus rationnelle, la plus moderne et la plus civilisée de l’humanité. Cette foi dans l’universalité de la culture occidentale est l’erreur la plus grandiose des constructeurs d’une Europe nouvelle.

Il s’est avéré que l’éthique laïque de l’Europe avait des frontières géographiques. Les gens invités par l’Europe pour soutenir son économie ne souhaitent pas la partager même s’ils en comprennent l’essence. Les immigrés ont leur propre opinion sur ce qui est bon ou mauvais.

Cela est devenu une forte surprise pour la partie d’accueil, note Oleg Matveïtchev :
« Plus énergiques sont les efforts visant à imposer à la société le politiquement correct, plus conflictuelle devient cette société.

C’est ce dont le gouvernement mondialiste a besoin. Parce que cela signifie gouverner le chaos : plus nombreux sont les conflits, plus fort doit être le pouvoir ». Les Européens ne ménagent pas d’efforts pour créer un monde à partir d’une multitude de civilisations. En d’autres termes, un monde n’appartenant à aucune civilisation et privé d’un noyau culturel. Ils se trompent.

* Ces populations, appelées également les « peuples premiers »

Sergei Duz
http://french.ruvr.ru/2013_12_27/Christianisme-la-bouee-de-sauvetage-pour-lEurope-4219/
VU ICI

Les musulmans se foutent de nous en parlant de « religion de paix »

L’islam est une industrie du crime. Une entreprise terroriste mondiale. L’islam tue en se foutant de nous, à déclarer que l’islam ce n’est pas le terrorisme.

• Ce matin, deux attaques terroristes commises par des islamistes, une en Russie à Volgograd et une en Chine ont fait des dizaines de morts – et j’ai toujours une pensée pour les blessés qui ont perdu qui une jambe qui un bras et resteront estropiés le restant de leur vie – à cause de la folie musulmane.
• Hier, c’était en Russie, où une femme islamiste s’est fait exploser et a tué 16 personnes.
• Dimanche toujours, c’était en Egypte. Une explosion a blessé 4 personnes près des bureaux du renseignements militaire du Delta du Nil. Trois jours avant, pareil.

• Au Liban, le pays est en deuil après l’assassinat du politicien Mohamad Chatah par les islamistes du Hezbollah lors d’une attaque à la voiture piégée, vendredi dernier.

• Et en Iraq, en Syrie, à Kaboul, au Sud Soudan, au Nigeria, au Mali, en Centrafrique maintenant, on ose même plus faire le décompte des attentats quotidiens et des morts : il faudrait y passer des journées.
• En Israël, ils ont tiré 5 roquettes depuis le Liban pour tenter de tuer des Juifs. Oui, là ce sont des musulmans qui attaquent les Juifs.
Comme en France d’ailleurs, où ils ont adopté la quenelle nazie, et couvrent d’insultes les juifs (dont moi-même) ou Arthur sur son compte Twitter :


Et puis la violence. Ce matin, ils ont encore brûlé un bus dans le Val de Marne et ont roué de coups le chauffeur. Il a peut-être osé leur réclamer leur ticket.

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Un lecteur qui vit en France me disait : « jamais un juif ne m’a emmerdé. Par contre, les arabes, c’est tout le temps des embrouilles. Il faut baisser les yeux quand on les croise pour éviter les histoires. Si vous croisez des jeunes juifs et que vous les regardez dans les yeux, ils vous font un sourire, c’est pas tout à fait la même chose. Pourquoi les médias nous mentent sur ce qu’on voit tous, ils font comme la Pravda pendant le communisme. »

Les musulmans se foutent de nous avec leur religion de paix, et à demander qu’on ne fasse pas d’amalgame. Russie, Chine, Liban, Israël, Soudan, Iraq, Pakistan, Centrafirque : si ce n’est pas l’amalgame d’une grande entreprise de mort, cela s’appelle comment ?

Les musulmans se foutent de nous encore lorsqu’ils disent que l’islam, ce n’est pas ça. C’est bien l’islam que inspire ceux qui commettent ces attentats.

Si des journalistes et des « experts » sont assez rigidifiés pour ne pas pouvoir regarder la réalité en face car elle détruit leur dogme, est-ce que cela nous impose la même absurdité ?

Qui peut citer des exemples où l’islam est associé à des œuvres de bien pour l’humanité ? A des œuvres de tolérance ?

Les criminels, l’arme à la main, clament encore leur innocence. Les islamistes ne sont pas différents. Faut-il se laisser enfumer quand le motif est idéologique ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hervé Roubaix pour Dreuz.info.

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dimanche 29 décembre 2013

« Nos ancêtres les Arabes », ou la République antifrançaise…

« Lorsque les mots perdent leur sens, les gens perdent leur liberté », écrivait Confucius.    

Vite enterré, le rapport Refondation de la politique d’intégration, rendu la semaine dernière, est un événement historique considérable, puisqu’il représente la fin de l’idée même de la nation française. La suppression du terme d’« intégration » marque un tournant décisif dans l’histoire de notre pays : désormais, la France n’existe plus que comme un mot. Concrètement, elle n’existe plus : ses valeurs ne priment plus sur celles de l’étranger, ses racines doivent s’effacer devant celles de « l’autre ».
Aujourd’hui, la République a signé l’acte de décès de la France. Enfin, les masques tombent, la triste vérité éclate au grand jour : on savait que la République n’était pas la France, on voit maintenant que la République est la négation de la France.

Beaucoup seront tentés d’y voir une lubie de plus de la pseudo-élite qui dirige désormais notre pays. Mais le mal est en réalité plus profond : il s’agit de la conséquence finale du processus de destruction nationale entrepris par la République, processus qu’elle contient dans son ADN même. Elle ne s’est pas construite positivement, mais bien en opposition par rapport aux deux principaux piliers qui ont fait la France : la monarchie et le catholicisme.

Après avoir tué la première, elle a eu raison du second par le biais de la loi de 1905. Mais elle ne peut s’arrêter là : idéologie nihiliste par essence, elle doit détruire, encore et toujours. La prochaine victime, c’est le peuple français. Ironie de l’histoire : l’idéologie républicaine s’en était servie pour se débarrasser du christianisme. « Nos ancêtres les Gaulois » avait pour but de le chasser du territoire. « Nos ancêtres les Arabes » servira maintenant à remplacer le peuple français.

Le glissement était perceptible depuis des années. La marque la plus criante était cette substitution du mot « République » en lieu et place de celui de « France ». Les « valeurs républicaines » ou le « pacte républicain » reviennent sans cesse depuis des années. Du Front national au Front de gauche, les hommes et femmes politiques ressassent ces termes creux, sans signification claire, y mettant chacun des notions qui leur sont propres. La République est devenue le plus grand dénominateur commun, au détriment de la France. Cette évolution du langage a préfiguré l’effacement pur et simple de la nation française, dont ce dernier rapport est une étape décisive.

« Lorsque les mots perdent leur sens, les gens perdent leur liberté », écrivait Confucius. Puisse le peuple français faire sienne cette phrase du grand philosophe chinois. Sinon, il risque de se retrouver dans une France qui n’en aura plus que le nom.
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Analyse comportementale des musulmans (dans leur univers carcéral mental).



Nicolas Sennels*, un psychologue Danois qui a travaillé dans les prisons au Danemark analyse le comportement des musulmans selon différents angles. Ainsi il fait une analyse comparée de la perception des choses chez les musulmans et chez les occidentaux. Extraits :

La colère
Dans la culture occidentale, la colère et la menace sont probablement la manière la plus rapide de perdre la face. Dans une discussion, celui qui se met en colère a automatiquement perdu, et j’imagine que la plupart des gens ont observé l’impression de honte et la perte de statut social qui font suite à une manifestation d’agressivité au travail ou à la maison.

Dans la culture musulmane, les comportements agressifs, et en particulier les menaces, paraissent être généralement admis et même attendus comme moyen de traiter les conflits et les tensions sociales. Si un musulman ne répond pas à l’insulte ou à la tension sociale par des menaces, il est perçu comme faible, comme quelqu’un sur qui on ne peut pas compter, et il perd la face.

Aux yeux de la plupart des Occidentaux, les comportements menaçants adoptés pour marquer son désaccord sont vus comme immatures et puérils. (…)

La menace terroriste et la réaction violente des musulmans à l’affaire des caricatures danoises de Mahomet, montrant leur prophète comme un homme prêt à recourir à la violence pour répandre son message, nous font sourire : la réaction agressive des musulmans à un dessin montrant leur prophète comme agressif confirme absolument la vérité du constat dressé par Kurt Westergaard dans son dessin.

Cette différence culturelle est extrêmement importante quand on a affaire à des régimes ou des organisations islamiques. Notre manière de traiter les désaccords politiques passe par le dialogue diplomatique et appelle les leaders musulmans à user de compassion, de compromis et de bon sens. Cette approche pacifique est perçue par les musulmans comme l’expression d’une faiblesse et d’un manque de courage. Ainsi, éviter le risque d’un vrai combat est perçu par eux comme une faiblesse ; dans la culture musulmane, c’est une invite à l’exploitation

Le centre de contrôle
Le centre de contrôle est une expression de psychologie qui décrit si les gens ont le sentiment que leur vie est principalement sous l’influence de facteurs internes ou externes.

D’un point de vue psychologique, il est clair que les Occidentaux ont le sentiment que leur vie est principalement sous l’influence de forces internes : nous-mêmes. Cela se traduit dans nos points de vue, notre manière de gérer nos émotions, nos modes de pensée, nos relations avec notre entourage, nos motivations, nos excès et notre manière de communiquer.(….)

Les musulmans ont (…) des règles externes strictes, des traditions et des lois qui régissent le comportement humain. Ils ont un dieu qui décide du cours de leur vie. « Inch’Allah » vient tout de suite après toute déclaration sur des plans pour l’avenir : si dieu veut. Ils ont de puissants religieux musulmans qui fixent chaque vendredi l’orientation de leur communauté. Ces religieux disent ce qu’il faut penser en politique, comment il faut élever ses enfants, et comment ou pourquoi s’intégrer ou non aux sociétés occidentales.

Le centre de contrôle est un élément essentiel de la manière dont nous comprenons les problèmes et leurs solutions. Quand on est élevé dans une culture où on apprend que « je suis le maître de ma destinée » (…) on regarde à l’intérieur de soi en cas de problème, et on se demande : « où ai-je fait une erreur ? » et « que puis-je faire pour modifier la situation ? ». Les gens à qui on a appris toute leur vie que les règles extérieures et les traditions sont plus importantes que la liberté individuelle et la réflexion sur soi se demandent : « qui m’a fait ça ? » et « qui peut faire quelque chose pour moi ? »

(…)Dans les sociétés bâties sous l’influence de l’islam et du Coran, il y a moins de sentiment de culpabilité et les gens sont donc plus libres d’exiger que l’environnement s’adapte à leurs propres souhaits et désirs.

(…) c’est aussi une puissante source de positions victimaires, ce qui conduit à des exigences sans fin auprès de la société environnante.


De manière très concrète, cette tendance culturelle se manifeste dans les thérapies, sous la forme d’une absence de remords. La réponse classique des musulmans violents était toujours : « …c’est de sa faute si je l’ai frappé. Il m’a provoqué ». Ces excuses montrent que les gens vivent leurs propres réactions comme dues à des facteurs externes et non à leurs propres émotions, à leurs motivations et à leur libre décision. »

Réflexion sur soi et conséquences L’ éducation (…)Cette manière de commencer en tenant la laisse courte est en fait très habituelle dans notre manière occidentale d’élever les enfants. Nous commençons avec des exigences strictes en matière d’école, de devoirs à la maison, et de bonne conduite. Puis, quand l’enfant grandit et mûrit, ses parents lui laissent davantage de liberté. À 21 ans, on estime qu’il a assez appris pour savoir vivre sa vie et il est libre de choisir l’éducation, le partenaire, la religion ou le mode de vie qu’il veut.

(…)Dans la culture musulmane, c’est différent, surtout pour les garçons. Les enfants ont beaucoup de liberté au début de leur vie et, à mesure qu’ils grandissent, il semble que la structure familiale soit soutenue par des restrictions culturelles et religieuses de plus en plus nombreuses. Quand ils ont 20 ans, leurs parents ont souvent déjà choisi leur future femme ou leur futur mari. Les autres choix, eux aussi, sont moins libres : l’attente, par exemple, de l’obtention d’un statut élevé par l’éducation ou le travail dans la petite boutique familiale, le soutien à la réputation de la famille par la participation aux prières du vendredi à la mosquée locale. La « pyramide de l’éducation » est à l’envers en Occident : moins de liberté au début, plus de responsabilité quand on grandit. Dans la culture musulmane, la pyramide repose sur sa base : peu d’exigences quant à un comportement civilisé pour le jeune garçon, et moins de liberté quand il devient plus compétent, pour soutenir sa famille et sa religion.


L’identité musulmane
D’après mon expérience avec les 150 musulmans que j’ai eus en thérapie, seuls une poignée se sentaient danois. La plupart se sentaient somalis, turcs, pakistanais et irakiens, vivant désormais au Danemark. Pratiquement aucun d’entre eux ne se considérait comme partie intégrante de la société danoise. Ils se sentaient aliénés et opposés aux Danois et à la société danoise. Ils ne se sentaient pas chez eux.

(..)Beaucoup de mes patients musulmans étaient des immigrés de la deuxième ou même de la troisième génération, mais malgré tout ils ne se sentaient pas danois

En fait, il semblait que beaucoup d’entre eux étaient encore plus religieux et haineux à l’égard des non-musulmans que leurs parents de la première génération. Il était clair pour moi qu’ils se considéraient comme très différents et même meilleurs que les non-musulmans. Les jeunes Danois qui manifestaient de l’intérêt pour l’islam étaient tout de suite vus d’un bon œil, même par des musulmans non pratiquants. Il en était de même des musulmans plus fondamentalistes. Les cercles de pouvoir se constituent toujours autour des musulmans les plus observants, fanatiques et puissants. Parmi les musulmans, les plus populaires étaient les vrais islamistes. Le portrait général de ces personnages est celui d’un homme, portant une barbe bien taillée, des lunettes élégantes. Il a une attitude arrogante, des manières et des vêtements raffinés, et sur son lit on trouve le Coran et des CD de lecture du Coran. Typiquement, ces hommes apprennent une poignée de théories de la conspiration « prouvant » que l’Occident, et tout particulièrement les États-Unis et les quelques millions de juifs laissés sur cette Terre, sont la cause de tous les problèmes du monde musulman.

(…) Une enquête française dans Le Figaro a montré que seuls 14 pour cent des 5 millions de personnes auxquelles on estime la population musulmane du pays se sentent « plus français que musulmans ». Des recherches conduites par le ministère allemand de l’Intérieur montrent que seuls 12 pour cent des musulmans vivant en Allemagne se considèrent comme plus allemands que musulmans. Une enquête danoise publiée par l’organisation promusulmane et prodémocratique Democratic Muslims, conduite par le parlementaire danois musulman Naser Khader a montré que seuls 14 pour cent des musulmans vivant au Danemark s’identifiaient comme à la fois « démocrates et danois.


(…)Si l’intégration se limite à apprendre la langue et à trouver un travail, elle n’a rien de particulièrement difficile. Mais si elle implique aussi d’acquérir l’habitude mentale de respecter également les non-musulmans, elle est tout simplement impossible pour la plupart des musulmans. Ils se considèrent comme à part, cherchent toujours à vivre ensemble, créent leurs propres sociétés parallèles musulmanes/islamiques, se sentent différents et ont moins de respect pour les non-musulmans. La véritable intégration n’implique pas nécessairement une conversion religieuse. Mais, pour les musulmans, elle suppose sûrement une conversion culturelle. Il est manifeste que très peu de musulmans ont la volonté, la liberté sociale et la force de caractère nécessaires pour affronter un processus aussi exigeant psychologiquement.(…)
(suite de l’analyse de Nicolas Sennels sur la psychologie comparée des musulmans)

L’honneur
L’honneur est une notion centrale dans la culture musulmane. (…) les musulmans se sentent très facilement offensés.(…)
Malheureusement, la culture musulmane dit à ses hommes que la critique doit être prise entièrement pour soi et qu’il faut y réagir de manière puérile. Devoir constamment faire attention à son aspect, se sentir peu sûr de soi et réagir avec agressivité en cas de critique, c’est le résultat d’une piètre estime de soi.

Une vraie confiance en soi permettrait à l’individu de penser ou de dire : « D’accord. Vous avez votre opinion sur moi ou ma religion. J’en ai une autre et, comme je me fais confiance, je ne vous laisserai pas troubler ma vision de moi-même ou de mes valeurs essentielles ». Connaître ses propres forces et faiblesses et les accepter est au cœur de la confiance en soi

(…)Si vous passiez du temps dans une communauté musulmane(…)Vous seriez tout le temps en train d’essayer de n’offenser personne et vous traiteriez tout le monde comme un œuf pourri. Plaisanteries, ironie et tout particulièrement autodérision n’existent pratiquement pas. (…)

(…)Au lieu d’être souples et de faire preuve d’humour, ils deviennent rigides et acquièrent des personnalités narcissiques, fragiles comme le verre.

Malheureusement, la plupart des journalistes et des médias utilisent le terme d’« honneur » quand ils décrivent des cas de violence où l’agresseur s’excuse en affirmant que son honneur a été blessé. La notion d’honneur étant complètement intégrée dans les règles sociales de la culture musulmane, la violence paraît justifiée lorsque l’honneur est menacé. Cela va jusqu’à frapper ou tuer des femmes qui réclament des droits humains aussi élémentaires que de choisir elles-mêmes leurs partenaires sexuels. En utilisant ce mot, de la même manière que l’agresseur, les médias adoptent automatiquement la vision de l’agresseur qui fournit une excuse narcissique et psychopathique aux mauvais traitements qu’il a infligés.

(…) résultats d’une enquête menée dans 12 pays non musulmans et 12 pays musulmans. Le dernier point de ce rapport concerne la question suivante : « Pensez-vous qu’un conflit violent entre le monde occidental et le monde musulman peut être évité ? » La majorité des 24 pays pense que ce conflit peut être évité. Mais ce n’est pas la même chose que de penser que ce sera effectivement le cas. Massivement, 22 pays sur 24 ont pensé que « l’interaction entre le monde occidental et le monde musulman va de plus en plus mal ».

Cette enquête a clairement montré que, alors que l’espoir d’une issue pacifique aux tensions entre l’islam et l’Occident est très répandu, les gens paraissent très pessimistes.
Les choses ne vont pas dans le sens de la paix.
Personnellement, mes conclusions sont en accord avec celles de l’enquête. Je pense qu’un conflit violent peut être évité. Mais les chances d’aboutir à ce résultat deviennent de plus en plus minces mois après mois. Nous avons franchi le point de non-retour il y a plusieurs années, à une époque où ce conflit aurait pu être évité sans mesures drastiques.

Les mesures draconiennes à prendre seront peut-être de mettre fin à l’immigration musulmane, d’exiger une réforme des organisations et leaders islamiques en Occident, de resserrer les exigences en matière d’intégration, de devenir moins dépendants du pétrole du Moyen-Orient, d’inciter les pays pauvres et extrêmement surpeuplés à avoir moins d’enfants, de créer une alternative à l’ONU réservée aux pays démocratiques, d’enlever à l’Union européenne le pouvoir de forcer les pays d’Europe à recevoir davantage d’immigrants et réfugiés musulmans, et peut-être même de renvoyer dans leur pays d’origine les musulmans qui se sont montrés incapables de s’adapter à nos lois occidentales laïques.

Il est probable que ces mesures drastiques sont nécessaires. Mais nos politiciens ont décidé de commencer par laisser flotter les rênes puis, lentement et avec beaucoup d’hésitation, de les raccourcir à mesure que les choses vont en empirant sans cesse. Avec de tels politiciens, les islamistes peuvent s’adosser confortablement et profiter du spectacle. Le monde musulman étant déjà là – sous la forme de milliers de ghettos musulmans en Europe, en Australie et en Amérique du nord – la probabilité d’un conflit violent dans les villes occidentales du monde entier est très élevée. La Destruction de l’Occident non islamique libre et « perverti » se produira toute seule.
(suite de Nicolas Sennels )

Conclusion
Nous devons bien mieux comprendre la culture musulmane si nous voulons parvenir à éviter une pareille catastrophe. Nous devons comprendre qu’il n’est pas possible d’intégrer des masses de musulmans dans nos sociétés occidentales. Nous devons comprendre que notre manière occidentale de résoudre les conflits sans affrontement nous fait paraître faibles et vulnérables aux yeux des leaders musulmans.

Nous devons comprendre que la culture musulmane est beaucoup plus forte et plus déterminée que notre culture occidentale chargée de culpabilité et d’auto-accusation.

Nous devons comprendre que les musulmans ne se sentiront chez eux que dans une culture musulmane et c’est pourquoi leurs exigences religieuses d’une islamisation de l’Occident ne cesseront jamais.


* Nicolas Sennels, Among Criminal Muslims. A Psychologist’s Experience from the Copenhagen Municipality.
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