dimanche 24 novembre 2013

L’Algérie rit jaune

Ils réagissent, eux. Et nous?
L’ARROSEUR ARROSÉ
L’Algérie rit jaune ! — Mais c’est parfait comme ça.
Immigration en Algérie
Tiens, quelle surprise!  À lire absolument. Ça ne manque pas de sel. Ça mériterait d’être expliqué à nos concitoyens issus de l’immigration. Vu dans des extraits de journaux. Ça tombe pile, au Québec, en plein débat sur l’identité nationale. 
Les arroseurs arrosés.
Depuis plusieurs semaines, la presse algérienne se fait l’écho de tensions entre la communauté chinoise installée en Algérie et la population locale.
Tensions qui ont donné lieu cet été à de graves agressions, à l’encontre de ces immigrés asiatiques, dont la violence a même poussé les autorités chinoises à intervenir auprès de leurs homologues maghrébins pour leur demander de mettre fin à ces pugilats.
"Les Chinois ont abusé de la gentillesse des Algériens. On les a acceptés malgré leurs défauts. Aujourd’hui, ils nous agressent chez nous", a déclaré Mounir à l’A.F.P. —  "Ils boivent de l’alcool devant leurs boutiques au vu et au su des Algériens et s’exhibent parfois en short dans le quartier.
Ce sont des comportements contraires à notre religion et notre culture", a précisé Abdellah, un autre habitant du quartier.  Des critiques que Song explique par «un sentiment de concurrence et de jalousie». À Bab Ezzouar, à Alger, plus de 200 commerces appartiennent à des Chinois. "Leurs produits sont vendus à des prix très compétitifs, ils sont ouverts tous les jours, donc ils gagnent de l’argent, ce qui déplaît aux Algériens", observe-t-il.
Étonnant, non? Ces mêmes Chinois sont implantés en France et au Québec depuis des lustres mais n’ont que rarement attisé le ressentiment des citoyens, contrairement à d’autres communautés.  Mais que les Algériens se rassurent, leurs immigrés Chinois:
- ne brûlent pas le drapeau national,
- n’imposent pas leurs coutumes alimentaires dans les écoles,
- n’exigent pas la construction de temples,
- ne réclament pas d’horaires de piscine aménagés,
- ne contredisent pas l’enseignement des sciences,
- se satisfont de médecins masculins pour leurs épouses,
- ne profitent pas indûment des aides sociales.
- etc., etc.
À diffuser sans modération 

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