lundi 23 décembre 2013

La taqiya ou l'art de la duperie

Points de Repères vous propose quelques réflexions sur le thème de la taqiya à la lumière notamment de l'article « Knowing Four Arabic Words May Save Our Civilization from Islamic Takeover » de l'excellent site Islam Watch.
MensongeL’humanité a payé un fort prix pour avoir refusé de prendre au sérieux le « Mein Kampf » d’Adolf Hitler, ainsi que les nombreux gestes (avant même la Deuxième Guerre mondiale) qu'Hitler posa, qui indiquaient que l’idéologie nazie était beaucoup plus que des mots sans réelle portée.
Idéalement, le monde humain devrait être un monde de parole et de confiance, un monde où l’on puisse s’appuyer sur une parole donnée.
Malheureusement, l’histoire nous apprend que tout être humain ou toute idéologie n’est pas à la hauteur de cet idéal.
À titre d’exemple, Adolf Hitler savait parler de paix alors qu’il se préparait à la guerre.
Or étonnamment, les hadiths (paroles et actions attribuées à Mahomet) rapportent que le prophète désigné de l’islam savait également faire preuve de tromperie pour arriver à ses fins.
De cet « exemple » proposé par le coran est née la doctrine de la taqiya, où la tromperie est justifiée dans le but de faire avancer la cause de l’islam.

L'usage plus que discutable de la parole chez Mahomet

Cité en « exemple » par plusieurs juristes et dirigeants musulmans, Mahomet utilisa le mensonge afin d’arriver à ses fins :
  • Selon la tradition islamique, Mahomet appela au meurtre un Juif du nom de Kab bin Arshaf car ce dernier se moquait de lui, mettant ainsi en question sa qualité de prophète.
    Or, un dénommé Muhammad bin Maslama répondit à l’appel de Mahomet afin d’exaucer sa volonté. Muhammad bin Maslama demanda à Mahomet s’il était permis de mentir à Kab bin Arshaf afin de lui tendre un piège. Mahomet donna son accord. De plus, Mahomet félicita bin Maslama quand ce dernier lui apporta la tête de Kab bin Arshaf.
  • Visage à deux facesPour Mahomet, tromperie et jihad (guerre « sainte » selon l’islam) allaient de pair, soit pour se défendre, soit pour attaquer : le prophète désigné de l’islam étant notamment un guerrier.
    Entre 600 et 900 hommes membres de la tribu Banu Qurayza furent décapités dans le marché de Médine. Toute femme et tout enfant prépubère de cette tribu juive furent pris comme esclave. La tradition rapporte que Mahomet prit pour femme une membre de cette tribu.
  • Yasser Arafat cita souvent les tactiques et stratégies de Mahomet afin de justifier son comportement. On apprit que Yasser Arafat coordonnait des actes de terrorisme alors qu’il parlait de paix.

Alors que l'Occident valorise la transparence, la doctrine de la taqiya justifie la tromperie

Dans la foulée de Mahomet, le « prophète » désigné de l’islam, la taqiya est une doctrine qui autorise tout musulman à faire usage de tromperie afin de se défendre ou afin de répandre l’islam.

La taqiya selon des penseurs musulmans

L’Occident qui valorise la transparence et l’ouverture a du mal à se faire à l’idée que la doctrine de la taqiya puisse exister. Et pourtant, les autorités dans l’islam sont nombreuses à en faire la promotion :
  • Selon Abu Hamid Ghazali, « Il est permis de mentir si le but à atteindre est louable ». (Ahmad ibn Naqib al-Misri, The Reliance of the Traveller: A Classic Manual of Islamic Sacred Law, trans. Nuh Ha Mim Keller (Beltsville, MD: Amana, 1997), sec. 8.2, p. 745)
  • Selon Kdmus al-shanca, la « taqiya est voile pour le croyant, et celui qui n’a pas de taqiya n’a pas de religion. » (Encyclopedia of Islam, 1st ed, s.v. “Taqiya” (Djumayyil, Kdmus al-shanca, pp. xiii, 127-28)).
  • Al-Tabari (d. 923), exégète renommé du coran qui fait figure d’autorité dans le monde musulman écrit à propos du coran 3,28 : « Si vous (les musulmans) êtes sous leur autorité (celle des infidèles (ou non-musulmans)), ayant crainte pour vous-mêmes, comportez-vous loyalement, avec votre parole, à leur égard, alors que vous entretenez intérieurement de l’animosité à leur égard ».
  • Une autre autorité dans l’islam, Ibn Kathir (1373), toujours à propos de la sourate 3,28 du coran, appelle le musulman à faire preuve de duplicité à l’égard du non-musulman s’il est dans une situation où il doit se protéger : « Sachez sourire à ces personnes (les non-musulmans) alors que votre cœur les maudit. »

La taqiya selon des spécialistes non-musulmans de l'islam

De plus en plus de non-musulmans s'intéressent à l'islam, non pas parce qu'ils trouvent cela particulièrement intéressant, mais afin de faire la lumière sur cette idéologie :
  • Le spécialiste de l'islam Raymond Ibrahim l'affirme : « La taqiya est en réalité une tromperie du musulman à l'égard du non-musulman. »
  • Robert Spencer explique dans son livre « The Complete Infidel’s Guide To The Koran » qu’il existe une morale utilitaire dans la théologie islamique qui consiste à ce que « tout ce qui est dans l’intérêt des musulmans et de l’islam est bon, et tout ce qui cause du tort à l’islam et aux musulmans est mauvais. »
    Voilà pourquoi, selon cette perspective, il est permis de mentir pour faire avancer la cause de l’islam.
  • Dans son excellent ouvrage intitulé « Battle for our minds », Michael Widlanski affirme que faire usage de supercherie afin de faire du tort à un ennemi est mentionné dans le coran et les hadiths (les traditions orales à propos de Mahomet).
    Dans son mode offensif, la taqiya consiste à « mentir pour la cause d'Allah ».

Un Occidental averti en vaut deux ...

Quatre mots arabes pourraient amener le monde entier à être soumis à l’islam. L’Occident ne peut se payer le luxe de méconnaître leur signification et leur implication.
Ces mots sont : taqiya (déjà mentionné), tawriya, kitman et muruna.
Chacun de ces mots décrit un style différent de duperie utilisée par des musulmans, et ce, dans la foulée d’une parole attribuée à Mahomet : « La guerre est tromperie » (Bukhari, Vol. 4, Livre 52, No. 268).
Le coran affirme que « la ruse appartient à Allah, en totalité » (Sourate 13,42) et qu’Allah « est le plus habile à nouer un complot » (Sourate 8,30).
Bref… Allah complote, Mahomet complote… il n’est donc pas étonnant que des musulmans inspirés par ces « modèles», complotent à leur tour, et ce, en toute bonne conscience.
De fait, pour certains, la tromperie est devenue une forme d’art et une seconde nature.
Si l’Occident entend combattre efficacement l’agenda des islamistes, il est impératif d’être averti que cet « art du mensonge » existe bel et bien dans l’islam.
Un Occidental averti en vaut deux …

Taqiya (la suite...)

Plus précisément, la taqiya est une forme de dissimulation de l’identité du musulman; une dissimilation au service d’une « autodéfense »; une forme de mensonge afin de protéger soit l’islam, soit le musulman.
  • Selon la loi islamique, « Il est admis de mentir si le but poursuivi est admissible. Mentir est obligatoire si le but est obligatoire » (Umdat al-Salik, « La dépendance du voyageur », Para r8.2).
  • Selon la sourate 3,28 : « Que les croyants ne prennent pas, pour alliés, des infidèles, au lieu de croyants. Quiconque le fait contredit la religion d'Allah, à moins que vous ne cherchiez à vous protéger d'eux ».

Tawriya

Tawriya signifie « dissimulation » et pourrait être défini comme étant l’« inventivité dans l’art du mensonge ».
Selon cette doctrine, il est licite de rompre l’intention d’un serment dans la mesure que n’est pas rompu la lettre du serment (« La dépendance du voyageur », sections o19.1 et o19.5).
Qu’est-ce à dire ?
Exemple no 1 :
Imaginons qu’un musulman nie que la première sourate du coran rabaisse les juifs et les chrétiens pour la raison que c’est une supplication que les musulmans font 17 fois par jour afin de les garder à l’abri de la voie des « égarés qui encourent la colère d’Allah » …
Ce musulman pourrait répondre que la première sourate ne mentionne jamais, explicitement, les juifs ou les chrétiens. Ce musulman pratiquerait la tawriya, parce que bien que la première sourate du coran ne mentionne pas explicitement les juifs et les chrétiens, ce musulman sait pertinemment que le terme « égaré » dans cette sourate réfère à ceux-ci.
Exemple no 2 :
Le souhait « Je te souhaite le meilleur » venant de la part d’un musulman à l’intention d’un non-musulman, en réponse à un « Joyeux Noël » ou à un « Joyeuses Fêtes » par exemple, veut dire dans l’esprit de plusieurs musulmans « Je te souhaite que tu te convertisses à l’islam. »

Kitman

Un musulman exerce le kitman quand il ne dit qu’une partie de la vérité, ce qui a pour effet, très souvent, de déformer entièrement la vérité.
Exemple no 1 :
L’exemple le plus commun consiste à ce qu’un musulman affirme que le terme jihad réfère principalement ou uniquement à une lutte interne, à un combat spirituel contre le mal.
Or, le coran fait usage du terme jihad et de ses dérivés environ 59 fois. Et sur ces 59 fois, 16 mentions pourraient possiblement faire référence à une lutte interne alors que la majorité des autres mentions font référence à une « guerre sainte », et ce, dans la foulée de ce que le « prophète guerrier » (Mahomet) a exercé selon les hadiths et la sira.
Exemple no 2 :
Une autre forme très commune de kitman est de citer uniquement les passages pacifiques du coran, sachant bien que ces passages furent abrogés par des versets belliqueux :
  • « Nulle contrainte en religion ! » (Sourate 2 :256) (sourate plus ancienne)
    fut abrogée par
    « Désirent-ils une autre religion que celle d'Allah, alors que se soumet à Lui, bon gré, mal gré, tout ce qui existe dans les cieux et sur terre, et que c'est vers Lui qu'ils seront ramenés? » (Sourate 3,83) (sourate plus récente)
  • « Autorisation est donnée à ceux qui sont attaqués (de se défendre) - parce que vraiment ils sont lésés; et Allah est certes Capable de les secourir » (Sourate 22,39) (sourate plus ancienne)
    fut abrogée par
    « Après que les mois sacrés expirent, tuez les associateurs où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade. Si ensuite ils se repentent, accomplissent la Salat et acquittent la Zakat, alors laissez-leur la voie libre, car Allah est Pardonneur et Miséricordieux. » (Sourate 9,5) (sourate plus récente)

Muruna

Muruna signifie « faire usage de flexibilité » afin de se mêler à l’ennemi et à son entourage. C’est l’arme suprême pour l’infiltration.
La justification de ce type de tromperie est la sourate 2,106 : « Si Nous abrogeons un verset quelconque ou que Nous le fassions oublier, Nous en apportons un meilleur, ou un semblable. Ne sais-tu pas qu'Allah est Omnipotent? »
Un musulman peut ainsi passer outre certains commandements du coran dans la mesure où il se livre à la poursuite d’un « meilleur commandement ».
De fait, les musulmans qui travaillent à l’avancement de l’islam peuvent ainsi s’écarter temporairement des lois islamiques afin de ne pas effrayer le non-musulman, et ce, dans le but de l’amadouer et de gagner sa sympathie en vue de sa conversion à l’islam ou encore afin d’infiltrer diverses institutions où les non-musulmans sont majoritaires.
Voici quelques exemples de la pratique de la muruna par un musulman afin de passer inaperçu, afin de se mêler aux non-musulmans en vue de l’infiltration, du jihad et de l’avancement de l’islam :
  • Se raser
  • Porter des vêtements à l’occidentale
  • Boire de l’alcool
Quelques exemples :
  • Les musulmans et pirates de l’air de 9/11 visitaient des clubs de danseuses ainsi que des bars alors qu’au même moment ils suivaient des cours de pilotage aux États-Unis en vue d’actes terroristes.
  • Marier un non-musulman ou se comporter comme un non-musulman de manière à ce que son véritable agenda passe inaperçu...
    Plusieurs Américains croient que l’aide d’Hillary Clinton, Huma Abedin, épousa le membre du congrès et juif Anthony Weiner en partie afin de promouvoir sa crédibilité en matière de sécurité et ainsi infiltrer les plus hauts niveaux de l’administration américaine.

    Tout récemment, d’autres membres du congrès, dont la républicaine Michele Bachman, ont laissé entendre qu’Huma Abedin pourrait être reliée au groupe radical des Frères Musulmans. De fait, le passé d’Huma Abedin ainsi que ses liens avec des associations islamistes en inquiète plus d’un.

En conclusion

Les implications de ces tactiques de duperie sont énormes pour les sociétés occidentales.
Les musulmans qui pratiquent les diverses formes de tromperie (taqiya, tawriya, kitman ou muruna) sont difficiles à reconnaître, car ils ne montrent aucun signe à l’effet qu’ils nous trompent. De fait, ils croient appliquer ce qu’Allah leur demande afin de contribuer à l’avancement de l’islam (et sa charia) en Occident.
Plus que jamais, la vigilance est de mise pour les Occidentaux ...
Il en va de la survie de la civilisation occidentale et de ses valeurs fondamentales.
vu ici

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