mercredi 15 janvier 2014

LE DIALOGUE EST À L’ISLAM CE QUE LA RUSE EST AU RENARD





Je n’ai rien contre l’islam s’il se comporte comme un simple culte. Mais comme il veut être partout c’est lui s’expose de lui-même aux hostilités et aux rejets de toutes sortes. Il ne peut pas être séculier et séculaire.
Religion et cité, temporel et intemporel, sacré et profane, qu’il se limite à sa seule sphère de religion et il sera épargné par les critiques.

Quand on se veut plus politique que culte, il est inévitable qu’il essuie les rafales de critiques dont il est l’objet voire même qu’il remet en cause lui-même son statut de religion.
[...]
Pourquoi l’islam est incapable de rester dans son seul champ de culte et de ne s’occuper que des affaires spirituelles de ses adeptes et se veut surtout un mode de gouvernement total de la vie des hommes dans ses moindres petits détails ?

Pourquoi ne reconnaît-il pas les frontières qui séparent les sphères publiques et privées ?

Pourquoi ses adeptes forts de son enseignement et convaincus que les lois humaines sont impures sont ceux-là qui ne respectent évidemment pas les lois de leurs pays d’accueil ?

Si l’islam n’avait pas pour eux une force de loi qui se veut de portée universelle au mépris de toutes les lois non-musulmanes, peut-être qu’inconsciemment ils n’auraient pas intégré cela dans leurs rapports aux lois qui ne sont pas consubstantiellement musulmanes.

Ils ne peuvent qu’être à l’image de leur religion qui ne se met pas à elle-même des limites et qui ne peut leur apprendre non plus le respect des lois qui ne sont pas les siennes.
[...]
Quand l’islam fait semblant de tendre la main aux autres religions, il le fait par pur calcul opportuniste pour les embobiner et faire croire qu’il est lui-même religion afin de mieux les achever.

Qu’il respecte son statut de religion au même titre que toutes les autres, il aura tout à gagner en termes de respectabilité et de crédibilité et donnera du sens à sa volonté réelle du dialogue.
Qui peut croire un seul instant en la sincérité du dialogue quand les textes fondateurs de l’islam appellent à la destruction de tous les obstacles susceptibles de le contenir dans ses avancées hégémoniques et n’encouragent guère au dialogue avec les impies, les porcs et les singes tels qu’il qualifie le chrétiens et les juifs ?


Quel dialogue quand on haine et mépris pour tout ce qui est différent de soi ? Peut-on s’asseoir autour d’une même table de discussion avec un protagoniste dont la charte est hautement belliciste et qui met en péril notre pérennité ? Ceci n’est pas sans rappeler la charte de l’O.L.P ?

Un dialogue fantasmagorique et illusoire, portant le masque de la Taqiya, prosélyte dont la finalité est de convaincre les antagonistes à se soumettre aux idées suprématistes de l’islam.

vu ici Ben Ammar Salem    

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