mardi 25 février 2014

Le talon d’Achille de l’islam, c’est le voile

voiléenueQuand Kémal Ataturk, s’appuyant sur la France des Lumières et la Révolution française, sécularisa la société turque et imposa la laicité comme valeur fondatrice, la première mesure concréte et symbolique fut d’interdire le voile dans l’espace public.
Les observateurs et chroniqueurs occidentaux de l’époque soulignèrent, certes, l’importance et la portée de  cet acte, se félicitèrent du fait qu’il ouvrait la voie à l’émancipation de la femme et son occidentalisation, mais  rares sont ceux qui comprirent la réelle motivation du réformateur turque.
Pour Ataturk, le voile, manifestation absolue de l’aliénation de la femme porte en lui tout le despotisme du califat ottoman et avant lui du califat arabo-musulman. La femme, objet de plaisir est porteuse de toutes les impuretés et par sa morphologie suscite les désirs et fantasmes des hommes. Tolérée comme génitrice, elle doit être  totalement effacée  par le voile et la relégation dans le foyer familial puis marital sous la responsablité du père et des frères puis sous celle du mari. Inégalité totale entre l’homme et la femme, ségrégation parfaitement organisées et traduites dans les coutumes et les usages et bien entendu dans la tradition musulmane et la charia. Véritable statut d’infériorité et de domination validé par toute la législation.
En imposant l’interdiction du voile, Attaturk neutralisa la charia et entraina toute une série de conséquences dont la plus importante: la fin de la domination crapuleuse de la  femme et son irruption dans l’espace public
Toutes les lois laïques et la constitition même qui inscrivait la laicité en tant que valeur essentielle seraient inopérantes sans la reconnaissance de l’égalité des droits entre femmes et hommes. et sans leur application stricte.
Il faut cependant souligner que contrairement au manque de volonté politique de nos gouvernants, la loi fut implacablement appliquée  en Turquie pour le plus grand bien de tous. Depuis 1923, date de cette  révolution turque, tous les pays arabes  ont vécu cela comme une offence, un affront et jurèrent implicitement de rétablir, un jour le Grand califat, d’abattre la démocratie et la laïcité, responsables selon eux de toutes les faiblesses, de la décadence des bonnes moeurs et de la  perversion des femmes.
Il est certes important de dénoncer la mosquée comme bastion avancée de l’islamisation et l’état français soumis indirectement au versement d’une véritable dime aux mosquées, seules habilités à délivrer les certifications pour l’abattage hallal. ce qui revient, contrairement aux lois à un financement du culte.
Il est certes important de demander l’arrêt de l’immigration en provenance de pays reconnus musulmans ou assimilés, le reflux de tous ceux qui refusent nos lois valeurs et principes et tout imman formé ou rémunéré par l’étranger qui abuserait de sa responsabilité morale en se transformant en prêcheur djihadiste.
Il est certes important d’imposer, comme dans certains pays, des préalables à toute naturalisation tels la langue, la laicité, notre histoire et nos valeurs, notre mode de vie, le sens profond de la Marseillaise ainsi que la déclaration des droits de l’Homme.
Il est certe important de demander et même d’exiger l’interdiction de l’abattage hallal interdit par la loi car la souffrance animale est insupportable pour nous tous.
MAIS….  il faut absolument comprendre que cet islam a une seule faiblesse : le VOILE.
C’est son talon d’Achille. Dévoilez ses femmes, forcez-les à l’occidentalisation, elles s’émanciperont de cet enfer dans lequel elles sont tenues de vivre depuis des siècles ET NOUS REMERCIERONT.
Rappelez-vous Aragon et Ferrat : « la femme est l’avenir de l’homme»  ET bien, son émancipation sera un coup fatal à cet islam qui tente de nous polluer.
Le seul poison violent capable d’anéantir ce fatras d’obscurantisme c’est l’égalité des droits entre femmes et hommes. C’est le meilleur axe des luttes à mener: forcer l’état à appliquer avec vigueur la loi de 1905 : comme Martin Luther King, j’ai fait un rêve.
Marc Mardas
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